Lundi et Mercredi
Pourquoi?
Par qui?
Dans la vie de chacun d’entre nous des difficultés surgissent : relations humaines conflictuelles, perte d’emploi, maladie, séparation, deuil, etc.
Parfois ces difficultés peuvent nous déstabiliser, nous faire tomber. Il est important de pouvoir se relever et de repartir.
C’est pour cela que le SFMI met à la disposition des personnes qui le désirent une conseillère conjugale et familiale.
Le conseil conjugal et familial est avant tout une relation d’aide à la prise de conscience des peurs, des angoisses, des attentes que les personnes portent en elles.
D’une part, il est promordial que la personne qui vient en entretien soit écoutée, entendue et respectée dans ce qu’elle est en tant que personne et dans son vécu. D’autre part, il est important que la personne puisse trouver et élaborer les décisions qui lui conviennent.
La conseillère ne doit pas se subtsituer à la personne en lui proposant des solutions. Elle est là pour réfléchir avec elle. Tenir conseil avec elle. Etre conseillère conjugale et familiale ne s’improvise pas. C’est le fait de trois années de formation sanctionnées par un agrément de la DDASS et l’engagement à une formation continue.
Au SFMI, devant le nombre croissant de ruptures de vie de couple et des conséquences matérielles et morales qu’elles entraînent : sentiment d’abandon, de solitude, moins d’argent, recherche d’un logement, problèmes de santé, etc, nous sommes très attentifs à la situation de l’enfant qui, lui aussi, vit le bouleversement. Il vit également le sentiment d’abandon, de perte et de culpabilité, ce qui peut donner lieu à des attitudes d’agressivité, de rejet, de compensation, de repli sur soi.
L’enfant doit rester à sa place d’enfant avec ses deux parents, et le parent garder la sienne. La relation parents-enfants n’est pas des plus faciles, mais celle du parent seul-enfant est souvent plus délicate et souvent à l’âge de l’adolescence.
Le SFMI se veut un lieu de soutien, de réflexion, et de solidarité où chacun peut trouver une place.